News en bref

Congo Airways: annonce de la desserte de Johannesbourg et Douala pour fin Mars 2018; FlyCAA: une année plus tard, la compagnie receptionne à nouveau un Airbus A321; Congo Airways : acquisition en wet lease des deux appareils Airbus A319 et A320; RDC: FlyDubai arrive à compter du mois d'Avril; Évaluation à mi-parcours de la mission d’audit  de l’OACI  sur la sécurité aérienne en RDC>

Tuesday, March 22, 2016

Lignes Aériennes Congolaises : la liquidation en cours, en dépit des décisions de justice

Un vrai casus belli: le Comité de liquidation montre du mépris pour le Sénat et la Justice. Il a publié dans les médias locaux des appels d’offre de manière à attirer d’éventuels repreneurs intéressés par la vente desdits biens au point que quelques membres du Gouvernement Matata, des Libanais, des Pakistanais, des Indiens et d’autres compatriotes se sont précipités sur l’acquisition des cahiers de charges en déboursant 500 dollars américains
C’est un défi lancé à la justice. Le pouvoir judiciaire peine aujourd’hui à redorer son image longtemps ternie par les actes irréfléchis de certains opérateurs judiciaires emportés par la soif effrénée du remplissage du tube digestif. Néanmoins, beaucoup de magistrats et auxiliaires de la justice tentent de tirer leur épingle en disant correctement le droit. Force est de noter que là où la justice marque des points, certains justiciables se croient tout permis pour refuser l’exécution des décisions ayant acquis l’autorité de la chose jugée. C’est le cas notamment de la situation qui prévaut au sein de LAC-Sarl dont les membres du comité de liquidation se permettent des écarts de comportement susceptibles d’énerver les décisions de la justice, en l’occurrence celles du Tribunal de Commerce de la Gombe qui a rendu, il y a eu peu, son verdict interdisant toute vente du patrimoine des LAC.

Friday, March 18, 2016

Aéronautique: entre Air Côte d’Ivoire et Asky Airlines, match de haut vol

L'une, basée à Lomé, a commencé ses activités en 2010. L'autre, à Abidjan, s'est lancée fin 2012. Aujourd'hui, les deux compagnies sont au coude-à-coude pour le leadership en Afrique de l'Ouest et en Afrique centrale.
Tous les jours, entre 12 et 14 heures, c’est le même scénario à l’aéroport international Gnassingbé-Eyadéma de Lomé. Sur le tarmac, le ballet des avions d’Asky Airlines est incessant. Et dans les espaces réservés aux passagers en transit, l’affluence grandit. Six ans après le lancement du transporteur aérien, son état-major, dans la capitale togolaise, se vante d’être « la compagnie africaine dont la croissance a été la plus rapide et qui a réussi à développer le plus large réseau de destinations en Afrique de l’Ouest et en Afrique centrale, reliant 23 capitales politiques et économiques avec une flotte moderne de sept avions ».

En cette période de publication des résultats annuels, Asky annonce à Jeune Afrique avoir transporté 515 000 voyageurs en 2015, contre un peu moins de 500 000 en 2014. Surtout, pour la première fois, la compagnie communique son chiffre d’affaires, qu’elle estime à 68 milliards de F CFA (près de 104 millions d’euros) au titre de l’exercice écoulé. Son directeur général depuis un an, Henok Teferra, dit même s’attendre à un bénéfice qu’un rapport d’audit doit confirmer. « Cela n’était pas arrivé à une compagnie aérienne basée en Afrique de l’Ouest depuis très longtemps », soutient l’ancien responsable des relations internationales d’Ethiopian Airlines.

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