A la Régie des Voies Aériennes (RVA), avant la francophonie est égal à après la francophonie. Si la rédaction du bihebdomadaire «CONGONEWS» se permet de l’affirmer, c’est suite à une descente de travail sur place à N’Djili-aéro, ou elle a constaté l’exécution des certains travaux, signalés au niveau du Salon VIP et d’autres, notamment au niveau du tarmac.
Lors d’un entretien mardi 11 décembre dans son bureau huppé de l’aéroport de N’Djili, le Commandant Georges Tabora Afata, a indiqué à la rédaction de «CONGONEWS» que son entreprise est entrain d’étudier le rapport des travaux effectués sur la nouvelle piste (4.000 m de longueur et 60 m de largeur) qu’une firme tunisienne en a fait le constat. Une fois fini avec l’étude du rapport, la RVA va passer à la deuxième phase, celle de recouvrir une nouvelle fois la piste avec une dimension standard de 15 cm de couche de bitume. Entre temps, renseigne le Commandant de N’Djili-aéro, l’idée est d’étendre les travaux qui s’effectuent au niveau du départ et de l’arrivée internationale vers les installations de l’aérogare national. «Notre ambition, c’est d’arriver à fournir également un service de qualité aux passagers qui viennent de l’intérieur du pays», a promis Georges Tabora. Du côté international, il n’y rien à reprocher. Des passagers qui prennent des lignes internationales bénéficient des services de qualité. Les photos publiées à la page 12 en témoignent. Même des box qui servaient d’abris aux agents de la Direction Générale de Migration (DGM) sont remplacés. Ces box sont passés du bois en métallique (voir photo).
Une annonce a été faite par Georges Tabora Afata. Mettre de signalisations dans tous les allées de l’aéroport de N’Djili.
Question d’informer des passagers à temps réel sur tous les mouvements des vols à prendre. «Nous allons acquérir tout ce qui est signalétique», a promis le Commandant de l’aéroport international de N’Djili. Avec tout ce qui est entrain d’être fait à N’Djili-aéro, on n’est pas loin d’affirmer que des nouveaux dirigeants de la RVA sont animés d’une volonté réelle et veulent donner une nouvelle image de cet aéroport dont la construction date des années 50.
Quant à la navigation, des assurances sécuritaires sont là. La preuve, des compagnies aériennes internationales ne cessent de demander des autorisations pour desservir l’escale de Kinshasa. Comme argument, des responsables de ces compagnies aériennes avancent que l’aéroport de N’Djili rassure de plus en plus et répond aux normes de l’OACI (Organisation Internationale de l’Aviation Civile).
Le vol inaugural de cette compagnie aérienne pour sa nouvelle destination a eu lieu hier à l’aéroport international de Douala aux environs de 14h 45 minutes.
Le ciel africain est un véritable marché à conquérir. Et la sous région Afrique centrale une véritable forêt qui reste à mettre en valeur. Car, se déplacer dans cette zone relève d’une véritable gageure. Les hommes d’affaires, les marchands et autres personnalités des pays de la sous-région sont souvent obligés d’attendre des semaines pour effectuer un vol vers un pays voisin, les compagnies aériennes présentes qui y assurent le transport ne desservent pas toutes les destinations. Quand bien même elles le font, ce n‘est pas de manière régulière, c’est épisodique. Constat fait par des experts.
Pour permettre aux habitants et hommes d’affaires de voyager paisiblement et de faire aisément leur business, Arikair, une compagnie nationale africaine basée au Nigéria entend désenclaver la zone en desservant toutes les capitales. Après la destination Cameroun inaugurée le 31 aout 2012 par la ligne Lagos-Douala-Lagos désormais opérationnelle, les responsables d’Arik Air viennent d’inaugurer la ligne Douala–Kinshassa-Douala.
Près de deux semaines après la prise de contrôle de la ville de Goma par les troupes rebelles du M23 soutenues par les armées rwandaise et ougandaise, l’aéroport de Goma a repris ses vols commerciaux ce Mercredi 5 Décembre 2012, à la suite du retrait des troupes du M23 de la ville. Il sied de signaler qu’un préaccord temporaire de la CIRGL (Communauté Internationale de la Région des Grands Lacs) enjoignait les rebelles du M23 de se retirer de la ville de Goma et se poster a plus de 20 kilomètres de celle-ci, en échange de l’ouverture de l’évaluation par le gouvernement congolais des accords du 23 Mars 2009 dont ce mouvement se réclame héritier.
Pour le moment, le contrôle de l’aéroport repose exclusivement sous le commandement de la MONUSCO en attendant la mise en place du nouveau dispositif sécuritaire qui octroyait aux FARDC, au M23 ainsi qu’a la force internationale neutre une compagnie de cent hommes chacun pour assurer la sécurité et le contrôle de l’aéroport de Goma. Wait and see !
Le 29 Octobre
dernier, la compagnie aérienne Korongo Airlines inaugurait son vol à
destination de Mbuji-Mayi, la capitale diamantifère du Kasaï-Oriental.
Comme a l’accoutume,
la compagnie a du investir dans la mise à niveau des équipements de navigabilité,
de la caserne des pompiers et autres, pour s’assurer que les conditions de navigabilité
et sécurité soient remplies, avant de desservir la destination. Plein succès pour leur nouvelle destination.
Plus bas, un article du journal La Prospérité qui décrit en détail le déroulement
de ce premier vol a Mbuji-Mayi.
La compagnie
d’aviation Korongo Airlines a effectué hier, mercredi 31 octobre 2012, son vol
inaugural et commercial sur la ligne Lubumbashi -Mbuji- Mayi. L’avion
transportait, à son bord, une série de notables. Cette nouvelle ligne, il faut
le souligner, vient ainsi s’ajouter, au plan interne, à celles déjà
opérationnelles, notamment, la ligne Lubumbashi- Kinshasa et Lubumbashi-
Kolwezi. Déterminée à Korongoliser le voyage, cette grande compagnie d’aviation
affiche beaucoup d’ambitions, principalement celles de désenclaver la RD-Congo,
relier les congolais des différentes provinces et localités qui ont le goût du
voyage, mais également, relier le Congo-Kinshasa et le monde entier, en
commençant par Bruxelles, plaque tournante du Royaume de Belgique.
Sur place, à
l’Aéroport de Bipemba de Mbuji-Mayi, l’accueil a été délirant. Trois discours
percutants ont été, à l’occasion, prononcés. D’abord, celui du Directeur
Général de Korongo Airlines, M. Christophe Allard; ensuite, celui du Gouverneur
de Province qui s’est fait représenter, pour la circonstance, par le
Vice-Gouverneur, M. Bruno Kazadi Bukasa et, enfin, le mot du Commandant de
l’Aéroport de Bipemba agissant au nom de la Régie des Voies aériennes. Depuis
le lancement de cette compagnie aérienne, le 16 avril 2012, a rappelé M.
Christophe Allard, Korongo Airlines a rendu la sécurité et la qualité
accessibles à tous et a su démontrer la capacité de la RD-Congo à se doter
d’une compagnie aérienne répondant aux meilleurs standards de service.
Dans ce cadre,
Korongo Airlines a investi à Lubumbashi dans un centre de maintenance
aéronautique de dimension internationale, seul centre d’Afrique Centrale
portant la certification européenne EASA Part 145, plaçant, par la même
occasion, la RD-Congo sur la carte des rares pays disposant de telles
prestations. Avec un personnel à 97% R
d-congolais, a rappelé son DG, Korongo Airlines a des hôtesses engagées dans
les 4 coins de la RDC et formées en Europe. Bien plus, ses agents catering
assurent chaque jour l’offre de repas répondant aux critères IATA les plus
stricts. A en croire le DG Christophe Allard, les actionnaires de Korongo
Airlines dont le Groupe Forrest International et Brussels Airlines s’inscrivent
activement dans les plans de développement initiés par le Président Joseph
Kabila, pour la Révolution de la Modernité.
Prenant la parole
au nom du Gouverneur de province du Kasaï Oriental, le Vice- Gouverneur, M.
Bruno Kazadi Bukasa a transmis les remerciements de la population de sa
province. D’autant plus que Korongo Airlines apporte une solution à l’un des
problèmes majeurs de cette province et rencontre les aspirations de la
population, à savoir : le désenclavement du Kasaï Oriental, son ravitaillement
en produits divers mais surtout, l’ouverture vers d’autres horizons de ce
peuple bien connu comme entreprenant dans le secteur de la petite et moyenne
entreprise. Saluant, par ailleurs, le fait qu’avec l’ouverture de son siège
commercial à Mbuji- Mayi, Korongo Airlines vient résorber le chômage et
rencontrer, par ce fait, le chantier emploi, M. Bruno Kazadi a exprimé le
souhait de sa province de voir cette grande compagnie d’aviation songer à
relier un jour Mbuji- Mayi à Lodja dans le Sankuru, sans passer par Kinshasa.
Pour M. José
Ipoli Assoba, Commandant de l’Aéroport de Bipemba, l’arrivée de Korongo
Airlines tombe à point nommé car, elle permet de relever le défi dans le
domaine du transport aérien au niveau de la Province du Kasaï Oriental. C’était
également le moment, pour M. Ipoli Assoba, de rappeler le partenariat entre la
RVA et Korongo Airlines grâce auquel d’importants travaux ont été réalisés
permettant à l’Aéroport de Bipemba, de remplir sa mission de manière efficiente
et maintenir le niveau de services.
La rédaction de
La Prospérité convie ses nombreux et fidèles lecteurs à découvrir, à travers le
discours du DG de Korongo Airlines, Christophe Allard, les grandes ambitions
qu’affiche cette grande compagnie d’aviation. Discours de Christophe Allard, DG
de Korongo Airlines, à l’aéroport de Bipemba (Mbuji-Mayi, le 31 octobre 2012)
Monsieur le Maire de la Ville de Mbuji Mayi et Représentant de Son Excellence
Monsieur le Gouverneur de Province, Excellence Monsieur le Ministre Provincial
des Transports, Monsieur le Commandant de l’Aéroport de Bipemba Mbuji-Mayi,
Mesdames et Messieurs les invités, en vos grades et honneurs respectifs, Au nom
du Conseil de Gérance et de son Président Monsieur George Arthur Forrest,
permettez-moi de vous remercier pour votre présence fort appréciée. Depuis le
lancement de notre compagnie aérienne le 16 avril 2012, nos équipes n’ont eu de
cesse de garantir notre mission, celle de faire notre métier de transporteur
aérien dans le respect des normes opérationnelles les plus strictes et ramener
le transport aérien à ces valeurs fondatrices : la facilité et le plaisir liés
au voyage. Korongo Airlines a rendu la sécurité et la qualité accessibles à
tous et a su démontrer la capacité de la République Démocratique du Congo à se
doter d’une compagnie aérienne répondant aux meilleurs standards de service.
Korongo Airlines
a investi à Lubumbashi dans un centre de maintenance aéronautique de dimension
internationale, seul centre d’Afrique centrale portant la certification
européenne EASA Part 145 plaçant par la même occasion la République Démocratique
du Congo sur la carte des rares pays disposant de telles prestations. Nos
hôtesses engagées dans les 4 coins du pays ont été formées en Europe et mettent
à présent leur expertise et leur sens de l’accueil au service de nos passagers.
Nos agents catering assurent chaque jour l’offre de repas répondant aux
critères IATA les plus stricts. Nous sommes la seule compagnie congolaise
collaborant avec un fournisseur mondialement reconnu. L’ensemble du personnel
de Korongo Airlines, à 97% congolais, bénéficie d’une formation continue
traduisant un large transfert de compétence au bénéfice des communautés
locales, du Katanga, de Kinshasa et aujourd’hui du Kasaï Oriental. La compagnie
aérienne Korongo s’affirme comme un acteur majeur du développement de la République
démocratique du Congo. Ses actionnaires, le Groupe Forrest International et
Brussels Airlines, encouragent cette dynamique d’excellence, de confort, de
sécurité et de développement et s’inscrivent activement dans les plans de
développement initiés par le Président de la République, son Excellence Joseph
Kabila Kabange, pour la Révolution de la Modernité. Ce souci du développement
se matérialise une nouvelle fois aujourd’hui par l’investissement majeur de
Korongo Airlines dans la mise à niveau de l’Aéroport de Mbuji Mayi : balisage
de la piste, camions anti incendie, citerne d’eau, tout a été mis en œuvre par
nos services pour que l’aéroport de Mbuji-Mayi respecte les recommandations
fixées par l’Organisation de l’Aviation Civile Internationale. Un préalable
obligatoire pour que Korongo Airlines puisse y démarrer une activité
commerciale et qui sert à présent à toutes les compagnies aériennes qui y
opèrent pour une sécurité accrue au bénéfice de tous les voyageurs.
Depuis 2 ans nous
collaborons avec la Régie des Voies Aériennes dans le cadre d’un plan d’action
conjoint qui vise à réhabiliter les aéroports de RDC dans une logique
pragmatique qui a déjà permis un upgrade de l’aéroport de Lubumbashi, de
Kolwezi et enfin de Mbuji-Mayi. En tant que partenaire technique nous avons
bénéficié du soutien logistique et financier de la Coopération belge dont il
faut souligner aujourd’hui l’apport essentiel. Je les en remercie tout comme je
salue également l’accompagnement de la Régie des Voies Aériennes que ce soit à Kinshasa
où ici sur l’aéroport de Bimpemba. C’est un grand jour pour nous, après avoir
déjà servi des milliers de passagers pendant les 6ers mois de notre existence,
nous apportons la nouvelle référence du transport aérien congolais chez vous,
au Kasaï Oriental. Voici arrivé le sourire de notre personnel de cabine, voici
disponible le confort de nos avions et la qualité de notre service de bord. Voici
qu’a atterri à Mbuji-Mayi le premier Boeing 737 Korongo répondant aux normes de
sécurité les plus strictes. Le produit que vous êtes en droit de recevoir est à
présent disponible prêt à vous transporter vers Kinshasa et vers Lubumbashi. Dans
un environnement concurrentiel en évolution perpétuelle, on a annoncé la
semaine dernière la fusion de 2 concurrents, il est essentiel pour Korongo
Airlines de garantir au marché une alternative de voyage, de préserver la libre
concurrence en maintenant la pression sur les prix et l’obligation pour chacun
d’améliorer ses propres prestations.
La nouvelle
référence que Korongo Airlines élabore aujourd’hui à Mbuji-Mayi a été adoptée
par une large partie des passagers entre Lubumbashi et Kinshasa, entre
Lubumbashi et Johannesburg, je suis persuadé que vous aussi vous accueillerez
favorablement la nouvelle venue. L’ensemble du personnel de Korongo Airlines, à
Kinshasa, à Lubumbashi et à Johannesburg est extrêmement fier de la nouvelle
page que nous ouvrons dans l’univers de l’aéronautique commerciale de la RDC. L’ouverture
de Mbuji-Mayi, 3ème ville du pays, est le signe de l’engagement de
développement pris par Korongo Airlines pour couvrir un large réseau domestique
assurant les échanges entre Provinces et l’unité du pays. A présent nous ne
survolons plus Mbuji-Mayi, nous y atterrissons, nous y travaillons, nous y
développons de relations professionnelles, … des amitiés. Je compte
personnellement faire de même et découvrir votre Province. Lors des
célébrations de la Francophonie j’ai eu l’occasion de visiter le stand du Kasaï
Oriental présent au Village de la Francophonie. Bien au-delà de la beauté des
diamants exposés c’est l’accueil chaleureux qui m’a marqué, le même que vous
nous réservez aujourd’hui. Je vous en remercie. Il me reste à remercier tout
ceux qui ont contribué à l’ouverture de Mbuji-Mayi, nos services commerciaux et
opérationnels engagés à donner dès le premier jour, le niveau de prestation le
plus élevé et à sans cesse de l’améliorer. Je remercie le Commandant de
l’Aéroport et les services de la Régie des Voies Aériennes pour leur accueil
sur leur plateforme et leur disposition à écouter nos recommandations et à les
mettre en œuvre. C’est aujourd’hui le tout début d’une longue collaboration,
mutuelle et respectueuse. Enfin je tiens à remercier l’artisan de cette
réussite, le directeur de projet en charge de l’ouverture de Mbuji-Mayi, Luc De
Backer qui il y a 6 mois encore ne connaissait par le Congo et est devenu à
présent un vrai Kasaïen ! Au nom de l’ensemble du personnel de Korongo
Airlines, je vous remercie de votre attention et à nos futurs passagers je dis
«Bienvenue » !
Les informations publiées
ce dimanche apporte quelques précisions sur le crash de Vendredi dernier à
Brazzaville.L’avion qui s’est écrasée
de type Ilyhushin IL-76T cargo, portant numéro d’enregistrement
EK-76300 était sous-louée pour a la compagnie aérienne Trans Air Congo (TAC) et
non Aero-service tel que mentionné dans l’article ci-bas.L’avion appartenait et était opérée par la compagnie arménienne Air Highnesses. Par contre, a travers sa page
facebook, la compagnie TAC mentionne ne pas être le propriétaire de l'aéronef.
Mystère! _____________________________________
Vingt-cinq
personnes sont mortes dans le crash d’un avion cargo de la compagnie Aéro
service vendredi 30 novembre à Brazzaville, capitale de la République du Congo.
L’appareil amorçait son atterrissage à l’aéroport international de Maya-Maya
lorsqu’il a été frappé par la foudre. Il s’est écrasé sur le quartier Makazou.
Les six membres de l’équipage ont tous été tuésdans cet accident. Aucun bilan n’a été avancé par les autorités.
Dix-huit corps
ont été retrouvés et transportés vendredi à la morgue de Brazzaville, selon la
Croix-Rouge et les policiers qui assurent la sécurité du site. La majorité
serait des habitants du quartier Makazou sur lequel l’avion cargo s’est écrasé,
avant de terminer sa course dans un ravin, à environ 1 kilomètre de là.
D’autres corps
ont été retrouvés samedi 1er décembre. Il s’agit de ceux des six membres de
l’équipage et d’un gendarme. Ce bilan pourrait bien augmenter à la fin des
recherches. Des agents et du matériel adéquat doivent commencer le déblayage
des décombres le plus vite possible, selon les services présents sur les lieux
du crash.
Parti de
Pointe-Noire, l’avion cargo de l’Aero service, chargé de véhicules et de
marchandise. Frappé par la foudre, l’avion a perdu un réacteur sur les quatre. Il
a pivoté pendant quelques minutes avant de raser quelques maisons du quartier
Makazou. Le gouvernement a mis en place une commission d’enquête pour élucider
la cause de l’accident.
La compagnie Aero
service n’assure que le transport des marchandises. La compagnie aérienne est
interdite de transporter des passagers à cause de sa flotte faites d’Antonov.
All pictures below protected by copyright ((Photo: AFP/Guy Gervais)
Suite a la prise
de contrôle de la ville de Goma par les rebelles du mouvement M23, toutes les activités
commerciales aériennes en direct et en provenance de cet aéroport ont été suspendues
par les compagnies aériennes congolaises. L’aéroport qui est reste sous contrôle
des forces de la MONUSCO continue d’opérer pour les quelques rares vols
militaires pour les casques bleus.
Au dernières
nouvelles, les rebelles du M23 ont commence a quitter la ville de Goma ce Vendredi
30 Novembre 2012. D’après les accords de
Kampala, le contrôle de l’aéroport sera assure par une compagnie de 100 cent
militaires provenant des FARDC, du mouvement M23, de la MONUSCO, ainsi que de
la force neutre.